Il s’agit d’une frise chronologique expérimentale sur laquelle j’essaie de positionner des jalons relatifs aux vertus supposées des techniques éducatives. La plupart perdurent, alors même que ces vertus étaient attribuées à des techniques abandonnées depuis.
On peut y observer les différentes postures du maitre, d’abord servant du savoir, il disparait progressivement de la salle, remplacé par un écran ou un robot anthropomorphe, pour être finalement remplacé par une machine.
L’absence d’effort est régulièrement mis en avant, tandis que chaque méthode laisse supposer ou montre des performances accrues dans les apprentissages.
A noter, la densité des noeuds autour de 1960.